Le Canoë trouve ses origines en Amérique du Nord puisque les amérindiens s’en servaient comme moyen d’embarcation et de transport ; l’homme embarqué ne maîtrise pas la propulsion et la direction est assurée par la pagaie. Le Kayak, en revanche, est originaire des Inuits, plus exactement des Aléoutes, et il est utilisé pour la chasse.
C’est au milieu du 20ème siècle qu’apparaît le terme Canoë-Kayak en France. Propulsé par des pagaies tout comme la pirogue, le bateau-dragon, le radeau pneumatique (raft) ou le wave-ski, le Canoë-Kayak est une activité physique sportive ou de loisir à ne pas confondre avec le sport de l’aviron, qui est propulsé par des avirons (rames).
Canoë-Kayak : la différence
Le Canoë est monoplace tandis que le Kayak peut prendre jusqu’à dix places. Comme on l’a précisé plus haut, le Canoë-Kayak est une activité qui peut être sportive ou tout simplement de loisir.
Concernant les activités sportives, le Canoë-Kayak peut se pratiquer comme sport :
- Course en ligne.
- Slalom.
- Descente.
- Kayak-polo.
- Marathon.
Ou en tant que loisir :
- Randonnée nautique.
- Kayak de mer.
- Freestyle.
- Kayak surf.
C’est la Fédération International de Canoë (FIC) qui gère les compétitions. Et c’est la Fédération Française de Canoë-Kayak (FFCK) qui régit ce sport en France.
Techniques sportives : on vous explique
Il se trouve que les deux embarcations en Canoë ou en Kayak se pratiquent différemment selon 2 types de propulsion :
- Propulsion en Kayak : le kayakiste est assis sur un siège bas au fond du Kayak. Ses pieds reposent sur des cales fixes ou réglables, ou une barre appelée « barre à pied ». Le kayakiste pagaie alternativement des deux côtés, dégageant l’eau vers l’arrière. C’est en fait le pagayeur qui se tire vers l’avant où il s’est ancré avec la pagaie et dirige le Kayak avec son corps grâce à ses fesses et ses pieds. Le kayakiste peut aussi mener des actions correctives (coup de pagaie au large, en arrondi). Dans la course en ligne, le kayakiste a les genoux plus relevés, et commande à l’aide de ses pieds une barre de gouverne qui traverse le cale-pied, et actionne avec des poulies un gouvernail.
- Propulsion en Canoë : Pour ce qui est du Canoë, le pagayeur s’installe comme le kayakiste mais il doit pagayer d’un seul côté et redresser le canoë avec son corps soit en faisant gouvernail à l’arrière, soit « en col de cygne » ou « technique J ». En course en ligne, le céiste se positionne « en tchèque », un genou calé par le bateau, l’autre en « fente avant », et ça produit un effort plus intense.
La difficulté du mouvement cité ci-dessus en compétition réside dans le fait que le céiste cherche la performance et veut aller très vite et doit gérer son équilibre, ce qui n’est pas évident avec la fatigue en fin de course.
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